Bonjour je m’appelle Mathieu Rebillard, 47 ans marié et père de trois filles âgées de 15 à 20 ans qui sont « mordues » de voile et passent tous leurs week-ends sur l’eau.
Je ne suis pas peu fier de leur avoir transmis cette passion d’autant que pour moi ça n’a pas été si précoce…. |
Ton rapport à la mer:
Je suis un gars de la campagne et bien qu’ayant fait mes études à Rennes, mes contacts avec la mer n’étaient qu’épisodiques…Maintenant je suis toujours content de revenir à Etables après quelques jours dans les terres. Il ne s’agit pas de la voir tous les jours, cette mer mais de la sentir pas très loin (rien de pathologique, rassurez vous) Venant de la campagne, mon premier contact avec la voile fut sur un étang, sur un 320. C’était plutôt tranquille mais je pense que c’est là que j’ai attrapé le goût de la voile. Quelques croisières autour des iles du Sud Bretagne, adolescent en famille avec un oncle qui avait construit lui-même son bateau en acier, un Galapagos de 12 m. Quelques stages aux Glénans. A mon arrivée à étables en 2007, je me suis inscrit en Laser pendant un an au pole nautique de St Quay-Portrieux. Le Premier contact avec le SNSQP ? Probablement après un forum des associations en septembre, il y a maintenant une dizaine d’années et une sortie en classe 8. J’ai bien dit une seule sortie ! C’était en hiver, mes filles pratiquaient de leurs côté l’Optimist, en même temps que moi …Je les aient récupérées plus d’une heure plus tard , grelotant, en pleurs après leur fin de séance…Il a fallu choisir…et je ne regrette pas …Aujourd’hui elles adorent ça !! Ce n’est donc que depuis quelques années que j’ai rejoint le SNSQP et après une année comme équipier j’ai racheté Ambalaba : le challenger scout de Véronique Bazin qui est probablement le plus petit voilier de la flotte Voile Loisir. C’est avec un grand plaisir que j’accueille maintenant à mon tour les équipiers du samedi matin. Une anecdote , un souvenir de mer : Je garde un bon souvenir d’une croisière d’une semaine en famille de St Quay à St Malo en passant par la Rance. Tout cela sur Ambalaba à cinq. Autant dire que c’était un peu serré…. Bon vent à tous |